Marieke

Née en 1989, culturellement originaire de l’ile de la Réunion, France, citoyenne du monde

Questions posées avant l’arrivée en Nouvelle Zélande :

  1. Comment imagines-tu le contact avec les locaux ?
    Je n’ai pas vraiment d’idées précise a part le fait qu’on m’ait dit que les kiwis étaient des gens très aidant, sympathique et chaleureux. Je verrais bien sur place !
  2. Qu’est-ce que sera, tu penses, le choc culturel pour toi dans ce pays ?
    Je pense qu’il y en aura peut-être mais vraiment peu je sais que toutes les cultures des pays sont différentes mais la nouvelle Zélande, je pense, se rapproche un peu de nous alors ça sera peut-être plus difficile à le voir. Mais à l’avance je ne vois pas quoi.
  3. Quelles idées te viennent quand on t’évoque ce pays ?
    Le seigneur des anneaux et le Hobbit, des montagnes avec de la neige depuis lesquels on verrait la mer, avec des moutons sur les pistes et des palmiers ou autre arbres exotique sur les pistes de ski !
  4. Quelle sera l’alimentation quotidienne et penses-tu que cela te coutera cher ?
    Alalala mon plus grand souci, j’aime manger mais j’y vais en backpacker et le pays reste un peu cher. La nourriture je pense n’échappe pas aux prix élevé et donc pour moi ça sera noodles mais je pense que l’on mange beaucoup d’agneau c’est réputé pour donc !

Questions posées au terme du séjour :

  1. Le contact avec les locaux a t’il été comme tu l’imaginais ?
    Le contact avec les locaux a été plus ou moins ce que je m’imaginais à quelque détail près.
  2. Comment ce contact s’est-il passer ?
    On a rencontré des kiwis, on est allé vers eux à leur rencontre pour apprendre à les connaître et s’intéresser à ce qu’ils font. Au premier contact ils sont en effet charmants, souriant, lorsque l’on est chez eux, puisqu’on a fait du woofing, ils n’ont pas eu peur de nous laisser dans leur maison faire un peu comme chez nous, pour ça ils ont été très confiants. Pourtant il y a quand même quelque chose qui m’a choquée c’est la « distance », malgré tout ce coté chaleureux il n’y a souvent pas plus derrière, les relations m’ont semblées superficielles. Après je me remet aussi en question, Est-ce parce que je ne parle pas assez bien anglais ?! En tout cas m’a première idée sur le kiwi était vrai ils sont accueillant et aidant mais a mon gout il n’y a pas assez de lien qui se sont créé.
  3. Quel a été le choc culturel et qu’as-tu ressenti ?
    Il y a eu quelque choc de culture ! A table on attend pas forcément les gens pour manger, si on est la on peut commencer, alors que c’est vrai que pour moi manger ensemble, partager le repas est important et donc s’attendre pour manger c’est important. La manière d’élevé les enfants, certes je n’en ai pas mais j’ai été élevé d’une autre manière. Ici mon impression a été que les enfants pouvaient faire ce qu’ils voulaient, ils coupent la parole aux parents (ce que je trouve le plus insupportable), répondent aux parents. Il y a aussi eu la manière de se dire bonjour de loin quand on ne se connaît pas, et sans forcément avec une poignée de main. La manière de se dire au revoir quand on a appris à se connaître le « hug », très déstabilisant quand on n’a pas l’habitude.
  4. Quand on évoque le pays, quel sont les idées qui te viennent ?
    Mes idées restent plus ou moins les même qu’au départ. Un pays dont le climat rappel celui de la Belgique, avec quelques similitudes au niveau de l’alimentation. L’ile du Sud plus paysanne, avec de grandes étendues de terrain/champs/culture. L’ile du Nord plus citadine mais avec tout de même beaucoup de terre non occupée par des habitations. Un pays peu peuplé, où il fait bon vivre, où l’on se sent en sécurité. Un pays très (trop) protecteur sur la nature mais en même temps pas si écologique que ça. On a vu des gens brûler du plastique dans leur cheminée !
  5. Qu’as-tu mangé, et qu’est-ce-que ça t’a couté ?
    Au niveau de la nourriture c’est ce que j’avais dit au départ. On a beaucoup fait attention, sur ce que ça nous a couté on est à 20$ par jour pour 2 personnes pour tout notre voyage en Nouvelle Zélande, autant vous dire que j’en ai mangé des noodles instant…. La nourriture coute cher, la viande terriblement et les fruits et légumes on peut s’en sortir avec les offres spéciales. Après ça on a fait du woofing et on a pu tester l’alimentation des kiwis. Comme chez nous, cela dépend des familles. Dans la première famille la mère n’était pas vraiment une cuisinière mais ils étaient amateurs de vin et j’ai pu en tester quelques-uns. Légumes bouillis, viande, purée ou pâtes. Dans la seconde famille, il avait une ferme dont ils consommaient les produits. Œufs, bacon, steaks, saucisses, salami tous cela venait de leur jardin. Pour le reste cela venait du supermarché, beaucoup de légumes et de fruit avec lesquels on faisait des smoothies, délicieux. Et dans la dernière famille, chez une dame plus âgée, elle fait beaucoup de chose par elle même, son pain son potager ses herbes aromatiques séchées.Tout plein de manière de cuisiner et de s’alimenter. J’ai gouter le slow cook d’agneau, viande délicieuse et fondante. Des coquilles st jacques offerte pas un pêcheur. Des belgians biscuit, très sucré mais savoureux. Ils ont du fromage ici, pas aussi fort comme je les aime, puisqu’ils n’ont pas le droit de faire germer les bactéries (protection de l’environnement oblige !) mais pas mauvais. Le vin est excellent à mon gout et encore plus si vous êtes amateur de blanc.
    Donc il y a moyen de se faire plaisir en Nouvelle Zélande mais cela peut vous couter un petit budget !